Potins Spotlight

Les anciens utilisaient l’électricité gratuite


La foudre, une énorme source d’énergie ?

Peut-on alimenter le pays avec les éclairs ? Quelle énergie y a-t-il dans la foudre ? Et tout ça peut-il vraiment alimenter une Delorean ?

L’utilisation électrique des pyramide par la maîtrise de la foudre en boule

L’énigme de la foudre en boule :  dans l’aventure de Tintin intitulée Les sept boules de cristal, Hergé imagine une scène fameuse qui se passe par un soir d’orage. Sous les yeux de Tintin, du capitaine Haddock et du professeur Tournesol, une mystérieuse sphère lumineuse, un peu semblable à une boule de feu, s’introduit dans la demeure de l’archéologue Hippolyte Bergamotte, saccage le salon, fait léviter Tournesol sur son fauteuil et finit par pulvériser une vitrine et son contenu : la momie de l’Inca Rascar Capac, que Bergamotte et six de ses confrères viennent de rapporter d’une expédition au Pérou et en Bolivie.

L’épisode en question a été inspiré à Hergé par un phénomène bel et bien réel, la foudre en boule.

Celle-ci se présente en général sous la forme d’une petite sphère lumineuse de 10 à 30 centimètres de diamètre, qui brille, flotte dans l’air et se déplace pendant une ou deux dizaines de secondes avant de s’évanouir ou d’exploser.

Le plus souvent liée à un orage, elle présente la particularité de pouvoir apparaître à l’intérieur d’une maison en semblant passer à travers une fenêtre fermée, ou bien dans un avion en « traversant » le pare-brise du cockpit !

Les descriptions de la foudre en boule sont presque aussi nombreuses que les milliers de témoignages à son sujet. Le plus souvent, ceux-ci évoquent un nuage sphérique incandescent, de quelques dizaines de centimètres de diamètre, brillant comme une ampoule de 100W, qui flotte aléatoirement et se déplace lentement peu au-dessus du sol.

D’aucun avancent que cette boule de feu peut passer à travers les trous de serrure, voire les fenêtres ou les murs. Sa durée de vie est de l’ordre de quelques secondes, et elle disparaît en silence ou en explosant. Quant à sa dangerosité, les avis divergent.

Spécialiste de la foudre à l’EPFL, Pierre Zweiacker se souvient d’un cas où il a été appelé comme expert:

«C’était en l’an 2000, à Thonon-les-bains: un gardien de camping a raconté avoir vu passer une boule de feu à travers le portail électrique, traverser la route voisine, puis une haie, jusqu’à un terrain de football, ou un enfant a été retrouvé mort foudroyé. Après vérification, il fut avéré que le portail était devenu défectueux à cause de cet événement… Surtout, l’analyse du trou créé dans la haie a conclu, après étude des feuilles devenues sèches, à la présence d’une source ponctuelle de chaleur extrême.»

Depuis le XIXe siècle, les savants tentent donc d’expliquer ce phénomène; il existerait à ce jour une centaine d’hypothèses.

D’une réaction nucléaire à l’implication de météorites d’antimatière ou la création de micro-trous noirs entrant en contact avec la Terre: tous les ressorts de la physique ont été mis à contribution pour l’expliquer. Mais très vite, un ingrédient a été proposé, devenu depuis presque incontournable: un plasma.

Souvent appelé «quatrième état de la matière», le plasma est un gaz brûlant de particules chargées, où les noyaux des atomes présents et les électrons tournant habituellement autour de ceux-ci, sont totalement dissociés. Formalisé en 1955 déjà par le Nobel de physique russe Piotr Kapitsa, l’idée qu’un plasma entrait dans la composition de «foudre en boule» a longtemps tenu la route car il semblait tout à fait plausible que la fabuleuse énergie transportée par un éclair (500 mégajoules en moyenne) soit capable de générer un tel plasma dans l’air. Mais un détail crochait: sans énergie pour le maintenir, un plasma s’éteint aussitôt. Or un coup de foudre dure moins d’une milliseconde. Comment donc expliquer la persistance de la foudre en boule pendant quelques secondes. Il fallait autre chose dans sa «recette».

En l’an 2000, John Abrahamson, de l’Université de Canterbury, en Nouvelle-Zélande, propose dans la revue Nature une nouvelle théorie: lorsque l’éclair frappe le sol, il vaporise lors d’une réaction chimique violente des nanoparticules de silicium (Si), de monoxyde de silicium (SiO) et de carbure de silicium (SiC), autant d’éléments qui composent la terre, le sable et la matière végétale présente. L’onde de choc les propulse en l’air, ce qui forme un «plasma poussiéreux». Mais ce plasma de nanoparticules ne reste pas inerte, puisque ses composants ont tendance à se recombiner (ou, comme disent les scientifiques, s’oxyder au contact de l’oxygène présent dans l’air). Ce processus émet de la lumière, mais s’arrête au bout de quelques secondes, une fois toutes les nanoparticules oxydées. Ne restait plus qu’à tenter de confirmer cette théorie par une expérience.

Plusieurs groupes de physiciens s’y sont attelés. Comme, en 2007, les Brésiliens Antonio Pavão et Gerson Paiva, de l’Université de Pernambuco: en créant un arc électrique entre une pointe et une galette de silicium – ce qui reproduit la foudre –, ils sont parvenus à créer des bulles lumineuses de quelques centimètres de diamètre.

Parallèlement, Eli Jerby, à l’Université de Tel-Aviv, procède quasi similairement, avec sa dernière invention, une «perceuse à micro-ondes», soit un dispositif produisant un concentré de micro-ondes pouvant être utilisé comme le foret d’une perceuse. Dans son laboratoire, il parvient à générer dans un four à micro-ondes une boule flottante et rougeoyante de quelques centimètres de diamètre.

L’affaire se précise encore lorsque James Brian Mitchell, à l’Université de Rennes, propose à Eli Jerby de reproduire son expérience au sein du synchrotron européen ESRF de Grenoble, un gigantesque instrument qui permet de décrire, à l’aide de rayons X, les processus moléculaires ayant lieu à l’intérieur même de la matière.

«Nous avons ainsi démontré que la boule de feu [générée avec l’installation israélienne] contenait des nanoparticules et qu’il s’agissait bel et bien d’un plasma poussiéreux», explique James B. Mitchell dans le magazine

Au final, les expériences brésilienne et israélienne, s’avèrent donc riches en enseignement, mais ne permettent pas de conclure le débat sur l’origine de la foudre en boule, tant elles ont été menées en laboratoire dans des conditions très précises.

Pendant les années suivantes, les tenants d’autres théories ont ainsi poursuivi leurs recherches. Plusieurs groupes, surtout au Max-Planck Institut de Garching (Allemagne) et à l’US Air Force Academy, ont fait parler d’eux récemment.

Ils sont parvenus à produire une boule de plasma brillante en déclenchant une puissante décharge électrique au-dessus d’un électrolyte, soit un liquide apte à conduire un courant, comme l’eau.

Énergie VRIL

La connaissance de la foudre et de la fulgurologie fait partie du patrimoine culturel surhumain depuis des centaines de milliers d’années. Les dieux d’avant ont utilisé la foudre dans toutes sortes d’applications, et ils savaient que l’éclair en boule est bien moins dangereux pour l’homme. Leurs machines à foudre visaient donc à éclater les éclairs, c’était le rôle des cercles de grandes pierres à polarité alternée, comme à Avebury, ou des murs cyclopéens sur le même modèle, comme à Cuzco ou Teotihuacan.

Le principe de fonctionnement était grosso-modo celui de nos centrales électriques. L’énergie reste l’énergie. Pourtant la fulguro-électricité ne ressemble ni à l’hydro-électricité, ni au nucléaire. Les centrales fulgurales ne produisaient pas des watts, du courant électrique, mais des boules de foudre. Et ces entités ne se comportent pas comme du courant électrique, elles semblent sortir du cadre physico-chimique habituel. Pour les comprendre, il faut élargir le cadre de l’électro-magnétisme.

L’éclair en boule se déploie dans l’énergie vril, très différente du courant électrique.  Elle se transmet sans support métallique. Des pierres polarisées – alignements de menhirs ou cathédrales gothiques – sont le meilleur moyen de la canaliser. Dans l’enseignement traditionnel, cette énergie qui court à travers la terre est appelée la vouivre.

La Foudre Des Anciens

Les Atlantes connaissaient parfaitement les effets de la foudre sur la psyché humaine, aussi avaient-ils conçu des centrales fulgurales pour réveiller leurs pouvoirs par l’électro-thérapie. Ainsi la majorité des mégalithes sont-ils des outils ou des machines, mis au point par les Atlantes pour capter l’énergie céleste et bénéficier de ses dons.

A cette fin, ils construisirent Tiahuanaco, Stonehenge, Carnac, Machu Picchu, les pyramides de Guizeh, Teotihuacan, Avebury, la Roche aux Fées… En Celtie, ils avaient levé des grandes pierres, dressé des pyramides et bâti des allées couvertes pour y recevoir des baptêmes de la foudre, et profiter des dons célestes. En Amérique, en Europe centrale, en Egypte, ils avaient bâti des pyramides surmontées d’un pyramidion en métal conducteur pour capter la foudre ; elle pénétrait à l’intérieur de la pyramide par les pseudos « conduits d’aération ».

Les « arcs de décharge » éclataient les éclairs pour les transformer en foudre en boule, beaucoup moins dangereuse. Juste en dessous, ils avaient ménagé une chambre forte avec un sarcophage en pierre où s’allongeait l’initié ; il y gagnait les bénéfices d’un baptême par le feu du ciel sans risquer sa vie.

QUESTIONS :

  • Que fait la foudre sur le cerveau humain quand elle ne lui grille pas les neurones ?
  • Quelle modification des longueurs d’ondes cérébrales permet d’acquérir ces mystérieux pouvoirs ?
  • Existe-t-il d’autres moyens que la foudre pour obtenir ce résultat ?
  • Quand pourrons-nous explorer cette voie passionnante ?
  • N’avons-nous pas tous envie de voler, de nous téléporter, de soulever sans effort les montagnes, de créer le monde matériel par la seule action de notre esprit ?
  • Qui refuserait de vivre beaucoup plus longtemps et de garder une éternelle jeunesse ?
  • Qui refuserait la science infuse, la connaissance, totale, immédiate, absolue ?
  • Qui refuserait l’accès libre et permanent aux multiples univers qui sont parallèles au nôtre ?

Gageons que la foudre permet tout cela…

C’est dans le souvenir collectif de ce lointain âge d’or que s’origine le mythe du surhomme.

L’energie Vril

Le Vril est la géo-énergie émise par la rotation de notre planète. Bien connue des anciens dieux et des peuples développés d’avant le déluge, l’énergie Vril est gratuite, renouvelable, propre, inépuisable. Elle participe à la fois de l’électricité, du cosmo-tellurisme, de l’électronique, du magnétisme, du spiritisme et du mesmérisme.

Elle fut redécouverte récemment par Nicolas Tesla et son système d’énergie électrique illimité et sans fil. Inépuisable, non polluante, gratuite, elle est utilisée depuis des millénaires. Rude coup pour notre complexe de supériorité !

De la même façon que la foudre en boule semble réagir au psychisme humain, l’énergie Vril semble lui obéir.

Quand l’individu a reçu un entraînement spécial, il peut déclencher une onde électro-magnétique. Son triple corps {corps physique + corps subtil + corps de lumière} assemble l’énergie diffuse à l’aide d’un catalyseur, un petit objet en or.

Ce catalyseur de Vril permet selon le cas de soigner ou de blesser, de rééquilibrer les énergies subtiles de l’être sur qui on le braque, ou de le griller comme un steak. Il est à la fois une arme et une baguette magique : un lance-rayon qui réveille les pouvoirs latents, mais qui peut aussi rendre fou, amnésique, ou grillé vif.

Cet objet magique possède bien des noms : en Egypte, on l’appelait Ankh ou Croix de Vie, les Grecs parlaient du foudre de Zeus, les Ramas du vajra d’Indra, et les Olmèques du xiuhcoatl.

Il est intéressant de noter que notre utilisation de l’électricité est très réductrice par rapport à ce qu’elle fut dans l’ancien temps. Le regard de l’homme a changé. Il voue un culte à la raison qui lui a volé sa toute-puissance, il méconnaît la nature et les pouvoirs qu’elle lui offre, il refuse l’abondance énergétique que donne la foudre pour exploiter des énergies polluantes, périssables et mortelles… mais facturables.

La foudre des dieux

A l’origine, Zeus, le puissant dieu des dieux Olympiens, n’était pas le maître de la foudre, mais du foudre. Et le genre masculin fait toute la différence. Le foudre est une arme de poing, capable de lancer un serpent de feu, c’est à dire un rayon mortel.

Zeus avait reçu cette arme de la main des fabuleux cyclopes, les Hommes de la Race d’Or, d’improbables créatures dont la taille atteignait cinquante-quatre mètres. Les Cyclopes étaient les maîtres de la foudre. Ils maîtrisaient aussi l’art de la forge et l’ingénierie électronique : ils savaient fabriquer des armes terribles… C’est ainsi qu’ils ont offert à Zeus l’arme qui l’a rendu tout-puissant, le foudre qui tue ou divinise.

Thor, le dieu scandinave, possède une arme magique, un marteau qui lance des éclairs, capable de détruire les armées et les fortifications, mais capable aussi de reconstruire les ruines. Il s’agit sans doute de quelque arme technologique, dont le souvenir déformé nous a été transmis par le mythe. Thor, pour certains auteurs, serait un avatar nordique de Zeus : rien d’étonnant s’il maîtrise la foudre.

En comparant les mythes, on découvre vite que le foudre est une arme universelle.

Quelle grande vérité a été cristallisée dans ce mythe ?

En règle générale, les hiéroglyphes et les fresques antiques ne sont pas des représentations symboliques, mais des images réelles d’une technologie supérieure.

Sur les murs des temples d’Egypte, le dieu Ra, homme à tête de faucon, est montré avec un disque d’or rouge qui lévite au-dessus de son crâne. De ce disque sortent parfois des lignes de pointes de flèches qui se dirigent droit sur tel ou tel personnage.

Manifestement, Ra commandait à une boule de feu de lancer ses rayons sur les hommes qu’il voulait récompenser ou punir. Ce dieu possédait donc une arme lance-rayons. Etait-ce une technologie liée à la foudre ? Ou bien utilisant la puissance du cristal de quartz, comme le laser moderne ? Sur les bas-reliefs du temple de Séti 1er, à Abydos, Osiris porte des couronnes aux formes les plus diverses.

Graham Hancock souligne une anomalie :

« De telles couronnes constituent un élément essentiel du costume des pharaons. Bizarrement pourtant, en deux siècles de fouilles, les archéologues n’ont jamais retrouvé un seul spécimen de couronne royale, pas même un fragment, sans parler de la coiffe cérémonielle convolutée associée aux dieux du Premier Temps. »

Pas étonnant qu’on n’en ait pas retrouvé trace. Ces coiffures aux formes technologiques étaient d’une valeur inestimable et d’une dangerosité non moins grande. On notera que les couronnes sont toutes ornées d’antennes et de gadgets qui évoquent des lance-rayons. Ces couronnes étaient des capteurs cérébraux reliés à des générateurs de rayons de mort ou de guérison. Donc tout à la fois des armes et des traitements. La plus impressionnante est « la couronne d’Atef, qui semble mesurer plus de cinquante centimètres.

D’après le Livre des Morts, elle lui aurait été donnée par Ra : « Mais dès le premier jour où il la porta, Osiris fut pris de violents maux de tête, et lorsque Ra revint le soir, Osiris se plaignit que sa tête était irritée et avait enflé à cause de la chaleur dégagée par la couronne. Ra entreprit alors de laisser s’écouler le pus et le sang. » Quelle sorte de couronne était-ce donc pour dégager de la chaleur et provoquer hémorragies et plaies purulentes ? »La description est éloquente : il s’agissait d’un engin dangereux…

On retrouve l’usage des lance-rayons chez les dieux Aztèque et Incas, Quetzalcoatl et Viracocha.

« Des légendes racontent que les dieux de l’ancien Mexique étaient armés de xiuhcoatl, ce qui signifie « serpents de feu ».

Ils émettaient des rayons capables de transpercer et mutiler des corps humains. » Une tradition aborigène dit que les Hommes d’Avant étaient les frères de la Foudre. Des peintures rupestres d’Australie montrent des géants avec des pointillés qui partent de leurs doigts.

Quant à la Bible, elle nous parle des Hébreux trop curieux foudroyés par l’arche d’alliance ou de la destruction des murailles de Jericho.

Incroyable mais vrai : les anciens utilisaient l’électricité atmosphérique qui a toujours été gratuite.

Elle existe partout, il suffit d’une antenne pour la capter, mais elle ne marque pas au compteur EDF. Au siècle de l’argent roi, l’énergie gratuite n’a pas d’intérêt. Faut-il en conclure que les « dieux d’avant » se moquaient de l’argent ? Quoi qu’il en soit, ils connaissaient très bien la foudre :

»Le temple de Salomon et la bibliothèque d’Alexandrie possédaient des paratonnerres. »

S’agissait-il de paratonnerres ou de capteurs de foudre ?

Jadis, on piégeait la foudre pour en extraire le précieux Vril.

Les pyramides du Mexique ont à leur base une couche de mica pour éviter que cette précieuse énergie soit remise à la terre.

Très curieusement, l’énergie électrique qui se construit sur toutes les surfaces métalliques et paratonnerres de la planète, nous la jetons dans les mises à la terre, où elle se dissipe aussitôt ». Pendant qu’on nous revend à prix d’or l’électricité d’un giga-barrage ou d’une centrale nucléaire, graves nuisances environnementales.

L’énergie Vril est beaucoup plus que de l’électricité. La physique quantique nous enseigne que dans chaque transmission d’énergie, il y a transmission d’information.

L’énergie Vril apportait aux anciens les connaissances de l’esprit de la Terre (électricité atmosphérique) et de l’esprit de la Lumière (électricité fulgurale éclatée en boules de foudre). L’énergie Vril avait une fonction sacrée, celle de transformer l’homme en dieu, en restaurant les pouvoirs perdus qui résultent de l’utilisation synchrone des deux hémisphères cérébraux.

D’autres techniques ont été utilisées dans ce même but. Le bas-relief ci-dessus nous montre l’utilisation de caissons à Vril, dans lesquels les initiés recevaient un baptême céleste très efficace. On notera la présence de câbles électriques reliant les caissons à des générateurs.

Si Garzia n’a pas saisi cet aspect sacré de l’électricité antique, il est néanmoins persuadé de l’utilisation électrique des pyramides :

« Des pyramides américaines et égyptiennes étaient posées sur une couche de mica, isolant électrique naturel encore utilisé de nos jours ».

Cette couche de mica servait manifestement à isoler un édifice soumis à de fortes tensions électriques, de façon que la charge ne soit pas mise à la terre. Les anciens tenaient à récupérer cette précieuse énergie.

La « pyramide » conique de Silbury, près d’Avebury dans le Wiltshire (UK) montre parfaitement les différentes utilisations de l’électricité atmosphérique dans un passé lointain. Un autre phénomène, totalement inexpliqué, accrédite l’idée selon laquelle l’électricité était connue des anciens. Il s’agit des lampes perpétuelles. Andrew Tomas a dressé une longue liste d’auteurs classiques ayant témoigné de l’existence de ces lampes qui ne s’éteignent jamais. Où puisent-elles leur énergie, sinon dans le Vril ambiant ?

Au 2e siècle, Pausanias décrit la lampe dorée du temple de Minerve qui peut brûler toute une année, ainsi que la lampe du temple de Jupiter-Ammon qui brûlait depuis des siècles. Au 4e siècle, Saint Augustin évoque une lampe perpétuelle que ni le vent ni la pluie ne peuvent arrêter. Au 6e siècle, à Antioche, une lampe perpétuelle fut découverte accompagnée d’une inscription qui précisait qu’elle avait été allumée cinq siècles auparavant.

Au 15e siècle, à Rome, quand on ouvrit le tombeau de Pallas, il était illuminé par une lampe perpétuelle, allumée sans doute depuis 17 siècles !!

L’Arche de l’Alliance : Un dispositif utilisé pour alimenter la grande pyramide de Khéops

Si la Grande Pyramide de Khéops n’était pas utilisée comme un tombeau pour les pharaons de l’Egypte ancienne … quel était-il alors sont but réel ? Après le projet appelé «Scan Pyramide» qui a analysé l’ancienne structure avec des équipements de pointe, les chercheurs ont détecté des anomalies thermiques à l’intérieur de la grande pyramide de Khéops révélant des détails choquants à ce sujet.

Le fait qu’il y ait des anomalies thermiques à l’intérieur de la grande pyramide est une énigme puisqu’on croyait que la température à l’intérieur de la pyramide était toujours constante et égale a la température moyenne de la terre, 20 degrés Celsius (68 degrés Fahrenheit).

Les effets des pyramides sont liés à la gravité, qui appuie du ciel, explique David Wilcock :

«La gravité est une rivière d’énergie qui s’écoule dans la Terre … et cette énergie peut alors être exploitée en construisant une forme en forme d’entonnoir l’énergie fluide de la gravité à tourbillonner et à créer un courant de tourbillon.

Est-il possible que la grande Pyramide de Khéops fût, une énorme machine d’énergie?

Construit avec une technologie ancienne qui est aujourd’hui perdue ? Et si la Grande Pyramide de Khéops est incomplète aujourd’hui ? Que se passe-t-il s’il y a des «composants anciens» qui sont absentes de la pyramide ? En dehors du sommet de la pyramide, est-il possible qu’il y ait des choses de l’intérieur qui sont manquantes ?

Alors que nous ne savons toujours pas ce qui était située au-dessus de la Grande Pyramide de Khéops, un espagnol de renom appelé Miguel Pérez-Sánchez croit qu’il sait exactement ce qui manque dans le haut de la pyramide.

Pérez-Sánchez a proposé qu’une sphère soit placée par les Égyptiens antiques au sommet de la pyramide symbolisant l’œil d’Horus. La sphère avait un diamètre de 2 718 coudées royales (2,7 mètres). La sphère située sur la pyramide a été placée comme un culte au Soleil et Sirius, l’étoile la plus brillante dans le ciel, qui a été associée à Isis.

Pérez-Sánchez a eu l’appui d’une équipe multidisciplinaire dans son enquête, lui permettant de construire une réplique informatique de la Grande Pyramide comme jamais auparavant. Mais que faire si en plus de la sphère, il y a d’autres choses qui manquent à l’intérieur de la pyramide? Et s’il y a un lien mystérieux entre la Grande Pyramide de Khéops et l’Arche de l’Alliance?

Nous savons par le Livre de l’Exode que, après que les Israélites ont été libérés de l’Egypte, Dieu a convoqué Moïse au sommet de la montagne sainte en lui donnant deux tablettes de pierre qui ont été sculptées avec les dix commandements. À ce moment, Dieu a fourni à Moïse des instructions précises sur la façon de construire l’arche de l’Alliance, l’un des plus énigmatiques «dispositifs» dans l’histoire de l’humanité.

Non seulement l’arche de l’alliance portait les dix commandements de Dieu, mais on disait qu’il était le trône de Dieu lui-même, partout où l’Arche de l’alliance était allée, Dieu était présent.

Selon le Livre de l’Exode; Les dimensions et les caractéristiques de l’Arche de l’Alliance sont de 2 ½ coudées de long, 1 ½ de largeur et 1 ½ de hauteur, ce qui est d’environ 131 × 79 × 79 cm ou 52 × 31 × 31 po. L’arche entière a été plaquée d’or, et une couronne d’or a été mise autour. Quatre anneaux d’or étaient attachés à ses quatre pieds, deux de chaque côté et, à travers ces anneaux, des bâtons de bois de shittim plaqués d’or étaient placés pour porter l’arche, qui ne devaient jamais être enlevés. Une couverture dorée était placée au-dessus de l’arche; Également appelée kapporet.

Il est intéressant de noter que de nombreux chercheurs suggèrent que si les détails de construction de l’Arche sont ceux qui ont été enregistrés dans le passé, alors l’arche ressemblerait essentiellement à un condensateur électrique avec deux électrodes séparées par des conducteurs d’isolant.

L’arche qui a été faite en bois d’acacia et recouverte d’or est très semblable à d’autres artefacts qui ont été trouvés en Egypte. L’arche a été placée dans une «pièce» sèche où le champ magnétique naturel est généralement de 500 ou 600 volts par mètre vertical. Selon plusieurs anciens théoriciens, cela aurait permis de le charger à travers la couronne d’or qui l’entourait; Suggérant que l’Arche de l’Alliance aurait agi comme un condensateur.

Les théories s’étendent quant à ce que l’Arche était vraiment, mais certains croient que l’Arche d’alliance était, en fait, un générateur de force inconnue, incontrôlable et mortelle. C’était un artefact qui était interdit de toucher, et ceux qui le portaient et le touchaient devaient avoir un vêtement de protection, d’autres devaient rester à distance. Ces descriptions de l’arche nous disent essentiellement que c’était quelque chose de très puissant, est très dangereux pour la santé de l’homme.

Les découvertes actuelles permettent de penser que ce qui se trouvait dans l’arche n’était autre que de la « Foudre en boule », que les anciens semblent avoir maîtrisé.

Les théoriciens des anciens astronautes croient que l’Arche de l’Alliance était donc un générateur d’électricité ou une partie d’un système plus complexe de production d’énergie. L’énergie qui pourrait être utilisée comme une arme (Jéricho) comme moyen de télécommunication (dialogue entre Moïse et dieu) et d’autres usages divers, et les théoriciens déclarent que la preuve de son pouvoir réside dans la lecture des instructions pour l’assemblée du tabernacle, Tente de réunion, où l’arche était gardée et les règles précises pour y accéder à l’intérieur afin de protéger des vies humaines.

Les anciens Égyptiens possédaient un dispositif qui ressemblait à l’Arche de l’Alliance

Bien que beaucoup de gens ne le savent pas mais, dans les représentations de la bataille de Kadesh à Abou Simbel, nous pouvons voir que l’armée de Ramsès II, avait un dispositif qui est extrêmement similaire à l ‘«Arche de l’Alliance» comme nous le savons de la bible.

Et il a été tenu dans un camp de tentes où des pouvoirs mystérieux seraient invoqués. L’Arche est semblable à celle référencée dans la Bible avec deux chérubins, presque identique à l’architecture classique de l’Arche de l’Alliance.

Étant donné que la Grande Pyramide de Khéops n’était pas utilisée comme une tombe, ni de salle de stockage comme certains l’ont suggéré, la question qui hante les archéologues et les chercheurs est … quel était le véritable objectif de la Grande Pyramide de Khéops ?

Je crois qu’on a répondu à cette question en début d’article…!

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