Francis Boyle est professeur de droit international à l’Université de l’Illinois.

Il est auteur du “Biological Weapons Anti-Terrorism Act” de 1989, une loi américaine mettant en œuvre la Convention sur les armes biologiques de 1972.

Dans ce nouveau “Debriefing”, Francis Boyle alerte contre les amendements du Règlement sanitaire international et contre le Traité sur les pandémies de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).


Des textes “contraignants au regard du droit international” qui violeraient la Convention de Vienne sur le droit des Traités. Pire encore, une fois adoptés, ils conféreraient à l’OMS “des pouvoirs dictatoriaux”.

Les dirigeants devraient alors “faire respecter et appliquer les deux textes au niveau national (…) Cela irait jusqu’aux soins primaires que vos médecins vous prodiguent et plus loin encore”, affirme-t-il. Si l’OMS obtient “ces pouvoirs dictatoriaux, elle pourra ordonner d’entreprendre de soi-disant mesures médicales qui vous tueront et ne vous guériront pas (…) Ils pourront, pendant une pandémie, ordonner des confinements, des masques ou encore plus de vaccins”, poursuit le Pr. Boyle.

Un scénario inacceptable pour ce juriste, puisque “nous ne pouvons pas faire confiance à l’OMS”. “C’est une organisation pourrie, corrompue et criminelle qui est dans la poche du Big Pharma, du CDC (Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies, NDLR), de l’industrie de la guerre biologique et du gouvernement communiste chinois”. Francis Boyle explique à France-Soir que de tels textes, une fois en vigueur, instaureraient “un État mondial, policier, médical et scientifique” dont l’autorité “outrepassera celle des États et leurs constitutions”.

Ce professeur de droit fait un parallèle entre les vaccins expérimentaux contre les armes biologiques – contre lesquels il a milité dans les années 1980 – et les vaccins ARNm contre le coronavirus. “Le covid-19 est une arme de guerre biologique” au même titre, voire “plus dangereuse”, que l’anthrax et le botulisme. “Nous n’avions jamais eu auparavant aucun type de vaccin réussi contre un agent de guerre biologique… Excusez-moi, les deux que nous avions, étaient un désastre produisant des décès et des handicaps à la fois aux États-Unis et en Grande-Bretagne”, précise-t-il, en référence au Syndrome de la guerre du Golfe de 1990.


Ce professeur de droit a appelé, lors de cet entretien, à la mise en accusation de “toutes les personnes impliquées, non seulement dans le covid-19, mais aussi dans les vaccins, pour meurtre et conspiration de meurtre”.


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